Le premier réacteur nucléaire propriétaire de troisième génération de Chine connecté au réseau
La première unité nucléaire, entièrement mise en œuvre sur la technologie chinoise "Hualong-1", a été solennellement connectée au réseau national le 27 novembre.
Le réacteur numéro cinq de la centrale nucléaire de Fuqing, nommé Hualong One (province du Fujian, est de la Chine), a été connecté avec succès au réseau électrique chinois à 12 h 41, heure locale.
Comme indiqué dans CNNC (China National Nuclear Corporation), la capacité nominale du réacteur est de près de 1 090 mégawatts et la durée de vie déclarée est de 60 ans.
La construction du bloc a commencé en 2015 et déjà en 2018, la plupart des travaux de construction étaient terminés.
Quelle est la particularité du réacteur chinois
Une caractéristique du réacteur Hualong One est la présence importante de systèmes de protection actifs et passifs (de secours). Bien que ce réacteur ne comporte pas de piège à fusion sous le cœur, ce qui fait douter certains experts que ce réacteur appartient à la troisième génération.
Si vous regardez de plus près ce réacteur, vous pouvez voir qu'il est profond développement à la fois de projets locaux (CNP-300, CNP-600) et de réacteurs français (CP0, CP1, CP2, (A) CPR-100).
Qu'est-ce que les réacteurs dans l'Empire du Milieu
En ce moment, des réacteurs de tous les acteurs mondiaux de ce domaine fonctionnent en Chine. Ainsi, en Chine, il y a le russe VVER-100 (Rosatom), l'américain AP1000 (Westinghous Electric), le canadien CANDU et le franco-chinois CPR-1000.
La variété présentée permet aux ingénieurs locaux d'acquérir l'expérience de spécialistes mondiaux dans tous les pays. Mais en même temps, il y a aussi des difficultés à fournir du carburant et à assurer la maintenance.
La mise en service de son propre réacteur est une étape importante dans l'indépendance de la Chine vis-à-vis des experts occidentaux.
Et cela réduira également les émissions de carbone dans l'atmosphère de 8,16 millions de tonnes par an.
En outre, la mise en service de ce réacteur et des réacteurs ultérieurs permettra la mise en œuvre du programme national, selon lequel D'ici 2060, la Chine envisage de devenir un pays neutre en carbone et de réduire ses émissions atmosphériques à près de zéro.