Les scientifiques ont trouvé un moyen de détecter le rayonnement sous vide
Les astrophysiciens ont mis au point une méthode grâce à laquelle il est tout à fait possible de détecter des particules de lumière qui apparaissent et disparaissent dans le vide. Avant cela, cela était considéré comme impossible en principe.
Le problème de la fixation des photons ultrarapides et la solution proposée
La nature clarifiée des trous noirs a été critiquée et fortement remise en question depuis la minute où la théorie de la relativité générale d'A. Einstein a décrit la possibilité même de leur existence.
Ainsi, selon les réflexions théoriques de S. Hawking, les trous noirs sont tout à fait capables d'émettre des photons qui apparaissent au bord même d'un trou noir.
En parallèle, des scientifiques étudiaient les propriétés du vide lui-même. Ainsi, dans les années 1970, Hawking a donné une description théorique de la façon dont la lumière est capable d'éviter de tomber dans le piège gravitationnel d'un trou noir, et W. Unruh a suggéré qu'un photodétecteur avec une vitesse suffisante serait capable d'enregistrer une telle lumière dans le vide.
La recherche moderne menée par des scientifiques a combiné les deux théories, tout en décrivant en détail à la fois la méthode de formation elle-même et la possibilité de détecter la lumière, ce qui était auparavant considéré comme impossible en principe.
Ainsi, selon les auteurs, les données recueillies au cours des travaux scientifiques indiquent que la lumière peut apparaître dans le vide.
Ainsi, selon la théorie classique, un vide n'est rien de plus qu'une absence totale de matière, de lumière et d'énergie.
Mais si vous regardez dans la section de la physique quantique, le vide est loin d'être un espace vide. Des photons y apparaissent et disparaissent constamment. Mais une telle lumière est presque impossible à réparer. Mais comme en théorie la possibilité de fixer de tels photons est possible, il a été décidé de réaliser une véritable expérience.
Ainsi, dans l'expérience proposée, les auteurs ont supposé que les défauts à base d'azote dans une membrane en diamant accélérant sont tout à fait capables de permettre la détection de tels photons insaisissables.
Dans cette expérience, un diamant de petite taille créé artificiellement, dans lequel des détecteurs de lumière réalisés sur la base de lacunes d'azote sont fixés dans une boîte métallique réfrigérée, où un vide se forme.
Ainsi, pendant l'expérience, la membrane accélère à une vitesse incroyable et à ce moment-là commence à "voir" des paires de photons qui sont reçus de l'espace vide.
Les scientifiques ont publié le matériel avec leurs calculs théoriques et la découverte faite sur le portail Communications Physics.
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